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  • Efficacité

Utilisable de tensions très basses, de l’ordre de 10 Volts en courant continu ou alternatif à 220 Volts voir plus le cas échéant. Dans l’absolu, elle commence à chauffer dès qu’une tension, si faible soit-elle, lui est appliquée.

 

Si l’on applique une tension de 10 Volts alternatifs et 3 Ampères, soit une puissance de quelques 30 Watts, après 20 minutes de montée en température, elle atteint 45°C et tend à se stabiliser à ce niveau de température.

Si l’on applique une tension de 220 Volts alternatifs et dix Ampères, soit une puissance de quelques 2200 Watts, la montée en température se fait de manière très rapide permettant d’atteindre 250°C en moins de trois minutes et plus de 500°C en moins de cinq minutes. Nous avons, pour l’heure, arrêté les essais à 550°C car l’éprouvette s’est rompue à cette température. Sur des matériaux adéquats, on peut imaginer que des températures plus importantes sont atteignables.

En appliquant une tension de 24 volts pour une intensité de 8 ampères, on fait monter une plaque de stéatite de 30 cm par 60 et 3 cm d’épaisseur à 85°C en 12 minutes.

 

 

  • Consommation d’énergie

Comme montré dans le paragraphe précédent, les consommations électriques sont faibles par rapport aux températures atteintes et permettent, avec quelques dizaines de Watts d’être efficaces en chauffe, en adaptant cette consommation à l’utilité recherchée.

A de telles consommations, les courants électriques d’origines photovoltaïques ou éoliennes sont directement convertibles en chaleur qu’ils soient continus ou alternatifs.

 

 

  • Facilité de mise en œuvre

Une peinture toute aussi simple d’utilisation que n’importe quelle autre.

Une ou mieux deux couches posées avec les moyens conventionnels, pinceau, rouleau, pistolet, suffisent à produire un effet thermique suffisamment significatif. La peinture est déposée sur un substrat isolant électriquement équipé de deux électrodes longitudinales et parallèles en matériau conducteur, cuivre argent ou autre, elles-mêmes reliées à l’alimentation à travers un système de régulation.

En utilisation peinture peut être utilisée par couches de quelques dizaines de microns, comme n’importe quelle peinture. En formulant de façon plus pâteuse, elle peut être utilisée en enduit de quelques millimètres d’épaisseur.

Déposée sur un substrat elle peut transmettre à celui-ci la chaleur produite pour la restituer dans le temps soit en rayonnement, soit par convection, ou directement réchauffer par rayonnement l’ambiance ou l’objet exposé.

 

 

  • Multiplicité d’applications

Vu les températures atteintes, toutes les fonctionnalités de chauffe sont imaginables :

   -le chauffage domestique :

               -basse température pour de consommation, on peut maintenir une chauffe .

               -températures normales, de 40 à 90°C, sur des éléments chauffants de type radiateur qui sont atteignables avec des consommations de 200 à 400 Watts.

               -il est possible d’imaginer des chauffe-eau utilisant cette technologie.

   -le chauffage des denrées :

               -dans la cuisine :

                            -une casserole ou une poêle peut être directement branchée au secteur sans avoir besoin de recourir à une plaque de chauffe.

                            -une plaque de chauffe vitrée peut-être réalisée.

                            -des fours, notamment à pizza, peuvent être réalisés.

                            -des chauffe-plats peuvent être conçus de la même manière….

              -pour les professionnels :

                            -le chauffage des denrées dans les industries chimiques ou cosmétiques peuvent être réalisés en cuves équipées.

              -autres :

                            -chauffage des cabines en navigation de plaisance à la voile.

                            -vêtements chauffants par enduction des tissus.

                            -systèmes de réchauffage des piscines…

Cette liste de fonctionnalités n’est en rien limitative et peut se décliner à l’infini.

 

 

  •  Coût d’utilisation

Le système est générateur d’économies substantielles en termes de consommation énergétique, comme montré plus haut, et peut donc être amortissable dans le temps. A base de peinture, il est adaptable aux formes diverses, aux substrats les plus variés et sa mise en œuvre ne nécessite pas de technologie couteuse.

 

 

Toutes ces descriptions sont données de manière non exhaustive car la multiplicité des paramètres sur lesquels on peut jouer en modifiant, pour chacun, la valeur entraine des résultats différents, notamment, l’épaisseur du film de peinture ou d’enduit, l’écartement des électrodes, le substrat lui-même, la tension appliquée, l’ampérage appliqué, la nature des électrodes, la concentration en graphite dans la peinture ou l’enduit, la nature de ce graphite…

 

 

 

 

Question Fréquemment Posée

 

Quelle est la nature chimique de la peinture ? 

 

C'est une solution sans solvant.

 

Comment est-elle appliquée et sur quel type de supports ?

 

On peut l'appliquer manuellement ou au pistolet sur tous supports.

 

Faut-il prévoir une préparation particulière des supports avant l’application ?

 

C'est la même préparation que pour n'importe quel primaire.

 

Quelle épaisseur aura le revêtement une fois terminée ?

 

Suivant ce que l'on veut obtenir en calories (Par exemple ça commence à 200µ pour obtenir 90 ° sur un m²).

 

Des émanations d’odeurs sont-elles possibles ? 

 

Non.

 

Sa mise en œuvre demande-t-elle une formation particulière de l’applicateur ?

 

C'est à la portée de n'importe qui pour l'application.

 

La pigmentation sera-t-elle dénaturée avec la température et le temps ?

 

C'est un primaire donc pas de pigmentation ensuite il faut choisir la peinture qui le recouvrira exactement comme le convecteur d'un appartement.

 

Les composants du revêtement des pièces humides seront différents des pièces sèches ?

 

Non

 

 

Pour tout renseignement veuillez : 

- écrire à l'adresse 2econsultingsarl@gmail.com.

- téléphoner au 00 33 9 70 46 89 71.

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